• Premier roman pour Jacqueline Dewerdt

    Jacqueline Dewerdt-Ogil

    se lance un défi en publiant son premier roman.

    disponible sur www.zonaires.com

    Jacqueline Dewerdt publie Un tilleul n’est pas un peuplier, son premier roman, après un récit et un recueil de nouvelles. Quête d’identité et déracinement rythment les pages de ce premier ouvrage très touchant. À découvrir !

    Habituée à une écriture resserrée, Jacqueline Dewerdt-Ogil s’est lancé « un défi personnel », avec l’écriture de son premier roman intitulé, de manière énigmatique, Un tilleul n’est pas un peuplier.
    En 2012, elle avait publié Pas tout facile la vie, récit inspiré de son engagement au sein de la compagnie Emmaüs. Deux ans plus tard, en 2014, Jacqueline Dewerdt-Ogil s’était livrée à un tout autre exercice avec Est-ce que les enfants jouent pendant la guerre ? recueil de nouvelles dans lesquelles les histoires de famille, les deuils et les vies inabouties trouvaient déjà une large place.
    Deux ans et quelques mois de travail d’écriture… ou plutôt de réécriture
    D’ailleurs, c’est une nouvelle écrite à l’été 2015 qui est à l’origine du roman. « Je l’ai fait lire à des amis, qui m’ont répondu qu’elle était trop longue, trop compliquée, qu’elle mettait en scène trop de personnages. » Deux ans et quelques mois de travail plus tard, Un tilleul n’est pas un peuplier était mis sous presse.
    La quête d’identité et le déracinement sont deux thèmes chers au cœur de Jacqueline. Les deux personnages centraux du roman, Jean et Thérèse, frère et sœur mais inconnus l’un à l’autre, illustrent cette quête. Au fil des pages, le lecteur fait connaissance avec eux, tout comme ils apprennent à se connaître.
    La quête d’identité est le seul élément autobiographique que l’auteure s’est autorisée, autour de ce père qui n’a pas tout dit. Nombreux sont ceux qui peuvent s’identifier. « Le mystère des origines est une question centrale pour moi.» Ancienne conseillère conjugale, elle a eu l’occasion de rencontrer bon nombre d’hommes et de femmes nés sous X. Quête d’identité et déracinement déjà.
    Un titre… et un double clin d’œil
    Pourquoi ce titre ? « J’en ai beaucoup changé », sourit l’auteure. « La sœur de Jean est dans une maison de retraite qui s’appelle Le Peuplier, et elle est bordée par une allée de tilleuls.»
    Au-delà de l’anecdote, la question de l’identité est posée, là aussi. Jacqueline Dewerdt-Ogil a glissé un autre élément autobiographique. Il se trouve sur la couverture : l’inscription sous le titre est sa traduction en russe. Comme un clin d’œil à ses origines.

    Anthony Hoyer, journaliste (Ternois)


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