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Ah te voilà, toi !
Le café est de nouveau ouvert. A vrai dire, il n'était pas vraiment fermé au vu de toutes les discussions qui s'y sont tenues ces derniers jours... Merci à vous tous. Et voici les chansons de Georges Chelon tant réclamées...
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Commentaires
1danielleLundi 23 Février 2009 à 11:09Chelon? Eh bé, ça ne nous rajeunit pas!Répondre2LastregaSamedi 23 Août 2014 à 18:31Merci Patrick, c'est gentil à vous. Mais "A te voilà, toi !" je l'ai déjà fait paraître en page 2, je crois des histoires d'eau (11). C'est "A une passante" tirée des Fleurs du mal de Baudelaire et chantée par G.Chelon que je cherche désespérément .3LastregaSamedi 23 Août 2014 à 18:314LAMY JacquesSamedi 23 Août 2014 à 18:31Le café est ouvert (le café est tout vert ?)
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MIDI, AU BAR DU COIN...
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On boit et l'on discute, on s'esclaffe et l'on crie,
On tape sur le zing demeurant sérieux !
Un vieil habitué, foin des tons ébrieux,
Commente le journal au monde : la tuerie !
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Convive au "plat du jour" (recuit au bain-marie),
Le fumet aspirant prend un air curieux.
Un "flipper" est claqué par un gars furieux,
Quand un homme au loto se concentre et parie.
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Un client attablé fixe un verre de marc,
Donne un sucre au gros chien, poilu, triste et camard.
Des employés voisins parlent suivant leur code.
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Le Patron prestement sert un vin du terroir.
Mais la femme soumise aux diktats de la mode,
Jauge son maquillage aux reflets du miroir...
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Jacques LAMY
5LastregaSamedi 23 Août 2014 à 18:31Bravo Jacques pour ce joli sonnet que je connais (ça rime, hein ?)
"Ca ne nous rajeunit pas !" dit Danielle, à qui je répondrais ceci : "L'amour n'a pas d'âge... tel est mon message". Sais plus écrire sans faire de rimes, moi !
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