• "Bon appétit !" Une brève revisitée par Danielle Akakpo.

    Extrait du recueil "Brèves revisitées" paru chez Zonaires éditions. Auteurs au sommaire : Danielle Akakpo, Désirée Boillot, Benoit Camus, Emmanuelle Cart-Tanneur, Dominique Chappey, Jacqueline Dewerdt-Ogil, Joël Hamm, Patrick L'Ecolier, Patrick Ledent

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    La fleur que tu m’avais jetée, Julie Legrand (novella, 7,40 €)

    La fleur que tu m’avais jetée est composée de mille pétales qui sont autant de mots, d’émotions que l’on inhale de toutes ses forces au gré des pages. Un voyage intimiste qui témoigne avec justesse des aléas de la vie d’artiste, porté par une plume mélodieuse et magnétique. Un récit décliné en harmonies majeures et mineures qui touchent au cœur comme dans le blues, la note bleue…  Mina Agossi, chanteuse de jazz

     

     

    Brèves revisitées, collectif d’auteurs (chroniques, 12 €)

    Les faits divers, en soi, manquent cruellement de poésie. Leur sordidité ou leur banalité les cantonnent au factuel, à l’actualité dans ce qu’elle a de plus misérable, de plus clinique et de plus désespérant. Leur offrir une fausse source, fictionnelle, les « bâtardiser » en quelque sorte, est assurément un moyen de leur offrir cette liberté dont ils sont par essence délestés : brusquement, tout n’est plus écrit, mais tout reste à écrire ! N’est-ce pas là le rêve de tout écrivain ?   Patrick Ledent, auteur

     

    Un tilleul n’est pas un peuplier, jacqueline Dewerdt-Ogil (roman, 19 €)

    Du mutisme de son père, Jacqueline Dewerdt-Ogil a tiré un roman sur la quête d’identité, le déracinement, les liens familiaux impossibles. Une fiction ancrée dans le réel et inspirée de l’histoire personnelle de l’auteur : « J’ai été confrontée à la difficulté à vivre avec le silence de mes parents. Mon père était russo-polonais. Avant de s’installer en France, il a été déporté en Sibérie. Il n’a jamais parlé de cette période, il ne nous a jamais raconté sa vie. Quand on est enfant, on n’y pense pas, mais ensuite, on s’interroge. » Jacqueline Dewerdt ne connaîtra jamais les détails de la vie de son père. Alors elle a laissé courir son imagination et traduit son ressenti dans le récit d’un fils et d’une fille issus d’un même père et qui se retrouvent, au début du siècle dernier, autour de leurs interrogations. « Mon père parlait russe et n’était pas le bienvenu en Pologne. Il est arrivé en France dans les années 1920 en tant qu’ouvrier agricole, comme ma mère quelques années plus tard. Ils n’avaient rien en Pologne, des recruteurs venaient les chercher pour travailler en France. J’ai retrouvé une lettre de ma mère qui racontait à sa famille la liberté qu’elle avait trouvée ici. De tout temps, des gens ont dû quitter leur pays. Ça fait écho avec la situation des migrants qu’on accueille aujourd’hui. »  Pierre Vion

     

    L’ombre de la colline, Laurence Marconi (nouvelles, 13 €)

    Laurence Marconi – dont on connaît l’humilité – signe ici un recueil à son image, au fond : délicat et lumineux. J’ai aimé l’ombre italienne, le regard sur le temps, les nuances et la fragilité des personnages. Il y a du reste, sous cette apparente simplicité, un vrai travail d’écriture, et on ne peut qu’y être sensible. Qu’on se le dise : L’ombre de la colline est une réussite…   Alain Emery, auteur

     

     

    Bleu horizon, Valérie Brun (roman, 17 €)

    Valérie Brun nous plonge dans l’univers terrible de la guerre 14 -18 par le biais d’une fiction. L’arrière-plan historique est d’une grande justesse et l’analyse psychologique des personnages est très fine, leur évolution parfaitement maîtrisée. On sent que l’auteure s’est documentée ou qu’elle connaît très bien cette période. Il y a, bien sûr, un aspect documentaire et didactique évident mais avant tout, Bleu Horizon est un roman émouvant, captivant aussi car on ne sait pas comment tout cela va finir. Les personnages sont justes, attachants, ils incarnent des protagonistes de la première guerre mondiale – le poilu de retour du front, dont les blessures de guerre les plus profondes ne sont pas forcément celles que l’on voit comme le nez au milieu de la figure ( si j’ose dire ), l’épouse et la mère qui ne disposent d’aucune arme pour lutter contre l’attente et la peur, l’épouse qui ne reconnait pas, en l’homme brisé de retour à la maison, celui qu’elle a aimé – mais ils acquièrent, au fil des pages, une force, une épaisseur qui les rend tout simplement … humains, vivants.  Laurence Marconi, auteure

     

    Mémoires d’un tueur ordinaire, Claude Bachelier (roman, 13 €)

    « Le nouveau roman de Claude Bachelier nous raconte, sous forme de Mémoires, l’histoire d’un type ordinaire, qui ne rêve que d’une vie tranquille, sereine et sans histoires. Mais ce serait trop simple et certains, presque inconsciemment, l’empêchent de vivre cette vie rêvée qu’il appelle de ses voeux. Alors, il va faire en sorte que ces malfaisants ne soient plus un obstacle à cette vie et avec le plus total manque de morale, il les expédie dans l’autre monde sans autre forme de procès et avec la satisfaction du travail bien accompli.

    Après « Angèle Cartier », la belle histoire d’une femme de caractère, Claude Bachelier crée un personnage que rien ne distingue de tout un chacun, si ce n’est la facilité et la bonne conscience avec lesquelles il fait passer ceux qui « lui pourrissent la vie » de vie à trépas. L’auteur ne manque pas, durant la soixantaine d’années que se passe l’intrigue, d’évoquer sans avoir l’air d’y toucher les évènements qui ont marqué ces années-là: la Libération, la guerre d’Algérie, mai 68, la fin du mur de Berlin… Et bien sûr, la vie à bord de la Jeanne d’Arc du narrateur, une vie que, à certains détails près, l’auteur a connu à bord d’autres bâtiments de la Royale. Sans toutefois, certaines fins tragiques.
    Donc, un roman qui n’est pas un roman policier, mais le roman d’une vie – presque -… ordinaire. »      Librairie Tuliquoi

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