• Innocences envolées, des auteurs en parlent

    Des personnages attachants, bien campés dans leurs époques, et ce petit rien qui fait tout basculer dans le drame au dernier moment… un régal, une fois de plus ! Merci Valérie (et merci Zonaires pour cette riche collection…) Frédéric Gaillard

    Comme elles sont bien amenées, les nouvelles historiques de Valérie Brun ! Enlevées, instructives, proches de nous malgré la distance… Ma préférée est celle sur Diderot, on est plongé dans le Paris de l’époque au Procope, avec la troupe de Molière à deux pas… Bravo à l’auteure d’entraîner son lecteur dans le Paris d’autrefois avec des personnages savoureux et vivants. Désirée Boillot

    L’écriture m’a d’emblée captivé par sa densité et sa clarté. L’innocence est abordée avec sincérité à travers des situations variées, avec des personnages, des univers qui vous marquent. J’ai aimé en particulier : Funeste triomphe et la mer pour modèle.
    L'auteure confirme ici un talent déjà affirmé dans ses précédentes œuvres. Aimard

    Lecture plaisante, mais ô combien troublante ! Toutes ces vies gâchées par des événements, des circonstances dramatiques. Mes préférences vont à Infamie, comme quoi l'homosexualité n'a jamais été facile à assumer et à Innocence envolée, le pauvre garçon ne réalisant pas la gravité de son acte.
    C'est peut-être à Funeste triomphe que j'ai le moins accroché… sans doute me manquait-il des connaissances sur le contexte historique.
    Copeaux d'enfance m'a rappelé Elle s'appelait Sarah. La fin est moins dramatique puisque l'enfant sort de sa cachette. Dans son acte final, il fait preuve, d'une intense maturité.
    Quant au style, je suis admirative devant La mer pour modèle. MmeLéa

    J'ai lu ces Innocences envolées avec plaisir. Ma préférée ? La mer pour modèle, je pense, courte mais dense et puis il y a ce langage imagé qui m'a plu. Des nouvelles variées - même si le thème qui les lie, que l'on retrouve dans le titre - est évident, ancrées dans des époques variées, elles aussi.
    À propos du titre, j'ai trouvé originale l'idée qui consiste à choisir le titre de l'une des nouvelles pour nommer le recueil (ça, c'est habituel) mais de le mettre au pluriel pour lui permettre d'illustrer tous les textes du recueil.
    L'illustration de couverture est belle. Une belle collection et un agréable moment de lecture ! Laurence Marconi

    "La mer pour modèle", cruelle et iodée, constitue un petit bijou. On la reçoit, de plein fouet, comme une lame de fond qui nous fait tituber, sur le pont du navire. Il s'en dégage un troublant parfum de Suskind. Quant au vocabulaire marin, on le déguste comme un sac de pralines. Marixel

    Merci à vous, Valérie, pour ce beau voyage spatio-temporel. J’ai pris beaucoup de plaisir à vous lire. Chaque histoire a un dénouement inattendu et son intrigue est magistralement menée. L’écriture est fluide d’une nouvelle à l’autre. Ce côté incarné de la narration m’a beaucoup touché. Bravo à vous. Si je devais choisir une nouvelle en particulier, je retiendrais Copeaux d’enfance pour son côté poétique. La dernière phrase que je cite est un une belle trouvaille comme j’aime en rencontrer quand je lis. Bravo à vous, j’attends le prochain avec impatience.
    Je cite : » Mais ces débris me font vraiment envie, alors je cède à la tentation, m’en saisis et, en ce triste jour de fête, laisse fondre dans ma bouche ces exquis cadavres, doux et amers, mêlés au sel de mes pleurs, dernières saveurs de mon enfance. » Thierry Radière

    Innocences envolées de Valérie Brun est disponible chez Zonaires éditions


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  • Les bonnes nouvelles de fin d’année !

    Collection cadeau

    À offrir ou à s’offrir !

    Jusqu’au 31 décembre 2015 Zonaires éditions vous propose l’ensemble des recueils de la collection Lapidaires pour 25€ port compris (au lieu de 29,40€ + 3,70€ de frais de port, soit une économie de 8,10€)

    Commande et règlement en ligne par CB possible (ou par chèque)

    Accès au site : www.zonaires.com

    Le barman et les auteurs vous souhaitent de belles et chaleureuses fêtes de fin d’année.


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  • Une chronique littéraire d’Eric Allard, sur le site Les Belles Phrases

    Au moment où la parole se libère, des femmes se racontent. Dans ce qu’elles ont de plus personnel, que leur propos soit grave ou plus futile. Elles se racontent au passé (« C’est important les souvenirs », dit une d’elles), au présent (sur ce qu’elles viennent de vivre) mais aussi au futur de leurs attentes. Il n’est plus ici, vu les circonstances, question d’un parler séducteur, érotisé visant à un coït.
    Quand nous faisons l’amour, peut-on entendre dans la bouche d'une autre, c’est comme si tu rechargeais les batteries de mon âme.
    La femme qui parle est sécurisée affectivement, elle se confie sans contrainte d’aucune sorte. Elle veut aussi marquer l’amant de sa parole.
    "Je veux que tu te souviennes de moi, de mon histoire »
    « La mémoire, c’est plus intime que le sexe », lit-on dans les propos d’une autre femme. Et une autre encore trouve que se raconter est plus impudique « à la limite » que la vie sexuelle.
    Elles sont vingt-neuf. Il y a l’amoureuse des Belges qui guette chez son amant des signes de belgitude. Celle qui fait l’amour dans le noir ; celle au sexe naturellement parfumé à la fleur ; celle qui ne vit que pour écrire; l’étudiante tombée amoureuse de son prof ; celle qui entend des bêtes au plafond ; celle dont la passion est de cultiver un jardin ; celle qui admire l’œuvre de Basquiat, l’Ile de Ré ou Fanny Ardant, physiquement et intellectuellement ; celle qui parle d’un livre qu’elle a aimé ; celle qui déteste les hommes mous en tout, ce qui qui nous vaut une des plus belle pages sur ce thème.
    Ce sont surtout des femmes heureuses qui s’expriment, font entendre leur voix. Aucune panne, nul fiasco de l’homme à déplorer qui justifierait d’une rupture du dialogue, d’une clôture du langage.
    Toutes créent un lien entre sexe et mémoire. Toutes sont en attente d’une écoute, de quelqu’un qui retiendra leur parole.
    Les prises de parole sont rendues sur deux ou trois pages maximum. On pourrait croire, à quelques détails près, que c’est la même femme, jamais prénommée, qui parle, à divers moments de son existence. Le titre de chaque intervention est fait de la coordination de deux substantifs, de deux propositions comme Cadeau et quotidien, Promesses et obscurité, Je sais et je vis…
    En fait, Thierry Radière rend hommage à toutes les femmes. On peut aussi penser qu’il parle (même si l'homme de chaque nouvelle demeure muet), se dit à travers elles. Il ne faudrait surtout pas réduire le propos littéraire de l’ouvrage à un aspect prosaïque, assimiler le recueil à un reportage, une enquête, voire un témoignage de l’auteur puisé à diverses sources alors qu’il s’agit de pures fictions, cela dit, tout à fait vraisemblables.
    À la fin, on se dit que l’entente, au sens propre, est un acte d’amour au même titre que le contact physique et, quand elle le prolonge et que le partenaire est à l’écoute, la relation est parfaite. La liaison amenée à se prolonger… D'ailleurs, lire, n'est-ce pas aussi écouter l’autre de l’auteur ? Un acte d’amour qui, s’il est partagé, après l’écriture, fonde une union réciproque propice à des échanges futurs entre lecteur et écrivain autour d’un livre, d’une parole commune ?
                                                                                                                 Éric Allard
     

    Le livre est disponible sur Zonaires éditions

     


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  • Vu en ville

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  • Jeux de dopes

    Les éditions Zonaires ont le plaisir de vous annoncer la parution le 25 novembre prochain dans la collection Lapidaires d'une nouvelle de Frédéric Gaillard :

    "Jeux de dopes"

    « Vous savez, Monsieur le Président, on ne se dope pas plus pour faire 3500 km en vingt jours que pour courir 100 mètres en neuf secondes… », disait Jacques Goddet, s’adressant à Jacques Chirac en juillet 1998.

    La pratique du dopage a fait partie du sport dès l’instant où le sport est devenu spectacle nous rappelle Frédéric Gaillard avant d’entreprendre de nous conter dans un style aigre-doux et sans temps mort, l’histoire d’une fabuleuse mutation.

    Mise en garde : cette nouvelle est sans danger pour le lecteur, mais il est possible qu’il ressente le besoin de prendre un petit remontant pour suivre pleinement la cent vingt-huitième édition du tour d’Hexagonie…

     

    Parce qu'il est taillé comme une bavette et qu'il s'est toujours blessé en faisant du sport, l'auteur se tient farouchement à l'écart des pistes et des stades, des sportifs et des supporters. Seuls le ping-pong et la pétanque trouvent grâce à ses yeux. En écrivant au moins, il ne risque pas d'entorse...
    Ce récit inédit n'est pas un essai philosophique sur le dopage dans le sport, mais une dystopie déjantée.
    L'auteur, dont c'est la deuxième parution dans la collection Lapidaires après plusieurs textes publiés en ouvrages collectifs, attend pour 2016 la parution de son premier recueil de nouvelles fantastiques.

    Jeux de dopes de Frédéric Gaillard, Zonaires éditions, 38 pages, 5,25€ +1,45€ de frais de port www.zonaires.com


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  • Paris sans parti pris


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  • Paris solidarité


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  • Photodrame 89


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    Fictions ?

    À vous de le dire !

    www.zonaires.com 


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  • Demain, je m'y mets

    Voilà maintenant un mois que l’opération « Rouge Noir » est sur orbite.
    L’association Calipso souhaite rappeler aux auteurs que la clôture du concours de nouvelles est fixée au 31 janvier 2016. Elle tient également à souligner que même si cette 14e édition a été reportée de plusieurs mois, le thème retenu n’est point la procrastination. Elle vous encourage à mettre toute votre énergie créatrice dans l’écriture d’une belle œuvre en rouge et noir.
    Nous avons également le plaisir de vous annoncer que la cérémonie « Nouvelles en fête » se tiendra le samedi 14 mai 2016 au Fontanil.


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