• C'est à La Maison des Passages à Lyon le vendredi 30 septembre à 19h que se tiendra une rencontre avec Guan Jian, auteure de "La Pluie de l'aube" paru chez Zonaires éditions. Une belle occasion d'échanger avec elle et d'écouter quelques extraits du livre.

    La Pluie de l'aube est également disponible sur www.zonaires.com

      


    5 commentaires
  • Place aux nouvelles 

    Oui, samedi 3 et dimanche 4 septembre il y aura des auteurs qui viendront pour la première fois sur la place de Cornières qui fera, ces deux jours-là, place... aux nouvelles...
    Tout d'abord les cinq auteurs dont le recueil a été sélectionné pour le Prix "Place aux Nouvelles - Lauzerte 2016" : Jean-Luc A. d'Asciano ("Cigogne"); Isabelle Flaten ("Se taire ou pas"); François Koltès ("Les Croix des champs"); Beata Umubyeyi Mairesse ("Ejo") et Stéphane Padovani ("Le bleu du ciel)
    ...Et aussi : Michka Assayas, que vous entendez sur France Inter et France Musique, qui vient avec un recueil de Nouvelles sur l'Azerbaïdjan, Erwan Desplanques, journaliste à Télérama, pour son recueil paru cette année "Une chance unique", François Emmanuel qui vit en Belgique pour "33 chambres d'amour", Jian Guan, née à Beijing, qui enseigne le chinois à Lyon, pour "La pluie de l'aube".
    Enfin Paul Cauuet, l'illustrateur de "Les Vieux fourneaux" - cette B.D. qui met en scène trois septuagénaires fortement déjantés... - nous fera l'amitié de nous rejoindre dimanche à partir de 11h.
    n.b. Rassurez-vous, Shmuel T. Meyer, qui est déjà venu à plusieurs éditions de Place aux Nouvelles, et que je n'ai pas mentionné hier, sera aussi des nôtres...
    Que des bonnes nouvelles !

    Place aux nouvelles

            Durant le festival Guan Jian dédicacera son livre "La Pluie de l'aube", mais vous pouvez aussi le commander sur le site de l'éditeur www.zonaires.com

     Sur le site de Zonaires éditions vous pouvez également lire la préface de Françoise Guérin et écouter l'entretien de l'auteur avec Patricia Martin sur France Inter.

    Samedi 3 septembre à 12 h :  apéro/débat : "Nouvelles d'ailleurs" avec Beata Umubyeyi Mairesse (Rwanda); Guan Jian (Chine), Michka Assayas (Azerbaïdjan);
     


    votre commentaire
  • Cet été, saisissez l'opportunité de passer de bons moments avec un livre de chez Zonaires éditions. Visitez le site www.zonaires.com pour choisir le ou les titres que vous pourrez emmener avec vous quelle que soit votre destination.

    L'été avec Zonaires

     

    En cadeau durant les mois de juillet et août le roman de

    Jean Calbrix "Un automne en aout"

    pour trois livres achetés avec un minimum de 25 € (+port).

    Dans le cas de règlement par Pay Pal aux conditions fixées ci-dessus, le livre de Jean Calbrix sera automatiquement joint à l'envoi.

     

      

     Commande sur www.zonaires.com 

    ou bien cliquer sur le titre sous chaque illustration

    L'été avec Zonaires

     Jeux de dopes de Frédéric Gaillard

     

    L'été avec Zonaires

    La Pluie de l'aube de Guan Jian

     

    L'été avec Zonaires

    Quand les femmes parlent après l'amour de Thierry Radière

     

    L'été avec Zonaires

    Innocences envolées de Valérie Brun

     

    L'été avec Zonaires

    Toi, ma p'tite folie de Danielle Akakpo

     

    L'été avec Zonaires

    Parfait amour de Fabienne Rivayran

     

    L'été avec Zonaires

    Le petit oiseau va sortir de Frédéric Gaillard

     

    L'été avec Zonaires

    Les Antipodes de Désirée Boillot

     

    L'été avec Zonaires

    Souvent, pour s'amuser d'Yvonne Le Meur-Rollet

      

    L'été avec Zonaires

    Que la fête commence ! d'Emmanuelle Cart-Tanneur

     


    2 commentaires
  • Zonaires éditions a le plaisir de vous annoncer la parution prochaine dans la collection Lapidaires de "Que la fête commence ! ", un recueil de trois nouvelles d'Emmanuelle Cart-Tanneur.

     

    Que la fête commence !

     

     Les mots : Jan les traque, Albert les recense, Fred et Lisa les vivent au fil de la plume d’un auteur désabusé.

     Ils sont au cœur de ces trois nouvelles qui, si elles font la part belle à l’imaginaire, restent ancrées dans le quotidien, abordant avec humour l’éternel sujet des affres de la création.

     Un écrivain, un peintre, deux héros de papier et un fonctionnaire trop zélé prennent vie entre les lignes de ces histoires extraordinaires qui n’attendent que vous pour que la fête commence !

     

     

     

    Que la fête commence ! Emmanuelle Cart-Tanneur est Lyonnaise de naissance et de cœur, mais Parisienne, Avignonnaise ou Dijonnaise à l’envi, ou encore Santoméenne, Canarienne, Islandaise ou Capverdienne si ses pas l’y portent… Pas encore retraitée, et donc sans cesse à la recherche du temps qu’elle s’efforce de ne pas perdre, longtemps elle s’est couchée tard, mais cette période est révolue. Bibliomane comme certains de ses héros, elle rêve d’une machine, non à remonter le temps, mais à le ralentir…

    Parution prévue le 15 juin 2016 – ISBN 979-10-94810-07-1

    Collection Lapidaires, 44 pages. Prix : 5,30 € +1,40 € de frais de port

    Commande sur www.zonaires.com


    votre commentaire
  • Chez Françoise Guérin...

    Guan Jian et son dernier ouvrage La Pluie de l’aube, paru chez Zonaires éditions, est l’invitée d’honneur de Françoise Guérin, nouvelliste et romancière, sur son site Mot Compte Double.
    À découvrir sans tarder… http://motcomptedouble.blog.lemonde.fr/?p=2815


    votre commentaire
  • La Pluie de l'aube, chapitre deux : "Mon lac" extrait :
     

    "Ma voix muette et mon corps sans vie vous raconteront mon histoire. Je n’ai plus de photos, plus de lettres, plus rien qui puisse témoigner des instants inoubliables de ma vie, mais tout est écrit sur mon corps. Chaque cheveu, chaque ride, chaque cicatrice, chaque tache, parle de ces instantanés de ma vie. À vous de me découvrir, à vous de rendre ma vie éternelle."                                          Guan Jian
     

    Rendez-vous sur www.zonaires.com


    2 commentaires
  • La Pluie de l'aube, préface de Françoise Guérin

     

     

    Rarement recueil de nouvelles m'a emportée aussi impétueusement que celui de Guan Jian. Pourtant, La Pluie de l’aube nous cueille en douceur avec un texte inaugural d’une exquise délicatesse mêlant le geste de l’écrivain et le concerto de « la pluie qui câline les vieilles tuiles du toit. ». On se dit : Quelle délicieuse écriture empreinte de poésie ! Et les images surgissent, qui charrient des souvenirs de lecture, comme ces Contes et légendes de Chine, qu’enfant, je relisais chaque été.

    Mais ne nous y trompons pas. L’auteure ne verse pas dans le folklore ou la sagesse populaire. Elle n’écrit ni pour faire joli, ni pour laisser rugir « la bête qui rôde dans la jungle de […] ses pensées. » Son travail vise plutôt à cerner les invisibles liens qui, toujours, ramènent le voyageur à la terre de ses ancêtres. Qu’ils s’exilent au-delà des mers ou que les logiques totalitaires les bannissent du monde des vivants, les personnages de ce recueil semblent intimement préoccupés par ce qui, de la fierté ou de la déception, pourrait s’inscrire sur le visage de ceux qui les ont enfantés.
    Comme une petite fille qui ne cesserait d'interroger le monde, Guan Jian scrute les destins qui entremêlent petite et grande histoire, espoir d’une ère nouvelle et désespoir d’être assujetti. Car, sitôt porté au pouvoir, l’idéal, implacable, dévore ses enfants, et, en premier lieu, ceux qui l’ont élevé à la place de maître. Le ravage imprime sa marque dans les générations qui s’en trouvent entravées.

    Pourtant, le propos de l’auteure n’est pas politique. Son écriture pleine de tendresse nous fait aimer ses personnages qui, tantôt en Chine, tantôt en France, croisent leurs existences cabossées. À mille lieues de la plainte tragique que son propos pourrait laisser augurer, il y a, dans son travail, quelque chose de vivifiant.

    Originaire de Beijing (Pékin), Guan Jian y a publié plusieurs ouvrages tout en exerçant le métier de journaliste et traductrice. Si elle a quitté la Chine, il y a vingt-six ans, après le massacre de la Place Tian'anmen, il est manifeste que la Chine ne l’a jamais vraiment quittée.
    Aujourd’hui, Jian vit à Lyon où elle enseigne sa langue maternelle. Écrire en français relève, pour elle, de la nécessité. Tant mieux pour nous qui guetterons, désormais, avec intérêt, la sortie de ses livres !

    Françoise Guérin

    La Pluie de l’aube de Guan Jian, Zonaires éditions, 126 pages                      

    13,50 € + 2,72 € de frais de port.

    Parution le 12 avril 2016  Commande sur www.zonaires.com

    [audio mp3="http://www.zonaires.com/wp-content/uploads/2016/03/Guan-Jian-sur-RCF-extrait.mp3"][/audio]
     


    1 commentaire
  • La pluie de l'aube

     

     

    Un recueil de nouvelles à lire comme un roman : chaque personnage est mis en relief par sa propre histoire dont la substance s’incruste dans une mosaïque. Celle-ci expose la vie de quatre générations de Chinois qui racontent l’histoire de la Chine moderne ; le destin de chacun d’entre eux est lié à la France.

     

    Préface de Françoise Guérin

     

      

     

    La pluie de l'aube

     

    Après La clé de mes songes (roman, L’Harmattan, 2012), GUAN Jian poursuit sa navigation entre Asie et Europe, entre présent et passé, entre douleur et bonheur, entre réel et imaginaire, entre dégustation de la vie et méditation sur la mort … Dans ses livres précédents, elle s’est surtout inspirée de son propre parcours, qu’elle nomme « ma mine d’or », alors que dans La pluie de l’aube, son regard se fixe davantage sur l’Autre, sur le monde qui l’entoure.

    « Écrire, c’est rendre nos vies éternellement belles », dit GUAN Jian. Écrire en français, cette langue qui n’est pas sa langue maternelle, c’est plonger dans un océan pour apprendre à nager, un joyeux plongeon dans l’incertitude.

    Du même auteur :

    La clé de mes songes, roman, L’Harmattan, 2011

    Je suis une petite barque, essai, Jiangnan (Chine, Hangzhou) 2008

    Rêve à l’intérieur des rêves, roman, Jiangnan (Chine, Hangzhou), 2007

    Vivre cachée en France, nouvelles, Maison des écrivains (Chine, Beijing), 2006

    Traduction : Les trois portes de Han Han, roman, J.C Lattès, 2004

     

    La pluie de l’aube de Guan Jian, 116 p. 13,50 € + port 2,72 €

    Souscription avant parution prévue mi-avril 12 € + port 2,72€

    Commande sur www.zonaires.com


    4 commentaires
  • Pas de salon chez Zonaires

     

    Zonaires éditions n’est pas présent au salon. Nous n’aurions eu aucune visibilité face à l’armada des grandes entreprises et nous n’avons pas de temps à perdre à ruminer dans un box en faisant une tête de gondole et encore moins à cultiver le ressentiment. Nous préférons continuer à œuvrer loin des sirènes médiatiques avec des auteurs qui considèrent la culture comme impérative (comme le propose Jacques Flament) et la littérature comme un délicieux fertilisant de l’esprit capable à l’occasion de réparer le vivant.
    Et pour le coup nous travaillons actuellement sur les deux prochains livres à paraitre chez Zonaires éditions :
    - La pluie de l’aube de GUAN Jian, un recueil de nouvelles qui se lit comme un roman et préfacé par Françoise Guérin (mi-avril 2016)
    - Que la fête commence ! d’Emmanuelle Cart-Tanneur dans la collection Lapidaires (juin 2016)

    PS : la simple entrée au salon coûte 12 € ; avec cette somme il y a de quoi faire chez Zonaires ; et si pendant votre passage l'envie vous venait de commander un livre ... www.zonaires.com


    2 commentaires
  • Parfait amour

    Lecture en accès libre de la première nouvelle "Poison d'avril" sur le site de l'éditeur : www.zonaires.com 

     

    « C’est un vrai bonheur littéraire que m’a offert Fabienne Rivayran. Encore une fois. Par la qualité de son écriture, la qualité et la variété de ses sujets, sa finesse d’analyse des caractères et le regard sans concession qu’elle porte sur les comportements humains, la sensibilité, les émotions qu’elle distille si justement. »
                                  Martine Galati

    « Recueil lu d’une seule traite, hier soir. Le talent de Fabienne n’est plus à démontrer, qui nous prend par la main, en douceur, pour nous emmener à la rencontre d’autres vies que les nôtres, et pourtant pas tout à fait lointaines : il suffirait d’un pas de côté du destin pour que nous nous retrouvions dans la peau de cette femme-ci, de cet homme-là, pour que, comme eux, nous hésitions un moment sur le chemin à suivre, avant de décider, ou de comprendre enfin, que le choix n’est jamais vraiment là. J’ai été particulièrement touchée par « Deux jours sans rien faire », et par « Femme de chambre » (parce que Fabienne maîtrise, aussi, l’art du titre) » 
                                   Emmanuelle Cart-Tanneur

    « Toujours le même art chez toi de planter le décor comme il faut et de bien t'occuper de tes personnages avec minutie. C'est vivant, comme toujours, et on en s'ennuie pas. »
                                    Thierry Radière


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique