• Si maman était là

     

    Après la publication de "La Pluie de l'aube" en 2016 les éditions Zonaires ont le plaisir de vous annoncer la parution début mai 2020 du nouveau livre de GUAN Jian "Si maman était là"

    Chaque femme a une vie riche en couleurs. Sensibilité, intelligence, courage, sincé-rité… Toutes, sans aucun doute, vivent avec la même force, la même passion leur appartenance au monde, nous dit Guan Jian.
    À travers ces neuf nouvelles, elle nous rappelle cependant combien est fragile cet attachement, combien peuvent être am-bigues ces vies où se côtoient frayeurs et enchantements, bien-être et idées noires.
    Poussée par le désir d’écouter les sombres bruits du passé qui affluent par les rayons de sa mémoire, l’auteure nous présente ces femmes qui, malgré tous les chagrins, toutes les colères, toutes les déchirures, tiennent à rester debout pour apprendre à vivre avec la vie, pour aller jusqu’au bout de leur « tour de manège »,

    Née à Beijing, diplômée de Beida (Université de Beijing) en littérature française, ancienne journaliste et traductrice de Beijing Informations, Guan Jian vit actuellement à Lyon, où elle exerce le métier d’enseignante.
    Auteure de plusieurs livres publiés en Chine et en France, elle navigue entre deux langues et deux cultures.

    En écoute sur la page du site : un extrait de la nouvelle “La petite fille qui marche seule dans la rue” lu par Anita VAN QUYNH

    INFO + En ces temps difficiles, nous vous serions reconnaissants de soutenir activement Zonaires éditions en précommandant ce nouveau livre de Guan Jian pour une livraison début mai ; en contrepartie nous vous offrons jusqu’au 30 avril 2020 une réduction de 2,50 € sur le prix de vente public (soit 10 € € au lieu de 12,50 €) Commande sur www.zonaires.com


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  • R E V U E   H A R F A N G : LES COUPS DE COEUR 2020  

    En attendant la fin du confinement et en attendant la sortie du numéro 56 de la revue HARFANG (prévue fin mai) en voici quelques extraits, chroniques de nos coups de cœur en liaison avec l’actualité.

     
    Coup de coeur Au chevet des vivants de Françoise Guérin, Zonaires éditions
    Urgence est le mot-clé de ce recueil. Avec treize nouvelles pour dire l’urgence dans les milieux (in)hospitaliers que l’auteur connait bien depuis des années par profession.  
    Dès la première nouvelle, le lecteur pénètre avec un patient dans l’univers des urgences. Réduit au silence par la douleur, il n’est plus qu’un corps, qu’un objet entre les mains des soignants… « on le pique, on le sonde, on le remplit, goutte à goutte… ». Ce « on » n’est autre que la foule des soignants, devenus anonymes, réduits à la « fonction, l’acronyme, le sarrau fatigué », tributaires des statistiques, de la rentabilité, des restrictions… Pas un mot du patient. Pas un mot au patient. « On te sauve la vie, de quoi te plains-tu ? ». Il ne retrouve la parole qu’en sortant, avec l’urgence de dire que paradoxalement l’hôpital et les soignants sont au moins aussi malades que les malades eux-mêmes!  
    Soignants qui se battent pour rester vivants « au chevet des vivants » et pour réintroduire un peu d’humanité dans un univers de technologie médicalisée comme cette infirmière de service de Réanimation Néonatale, cette « passeuse » qui guide Sophia, une jeune maman vers sa petite Rose prématurée. 
    Pour F. Guérin, il y avait urgence à raconter le quotidien des soignés et des soignants, dans les maternités, dans les cliniques, dans les hôpitaux psychiatriques, dans les maisons de retraite…  
    Pour nous, lecteurs, il y a urgence en ces temps de crise à lire ces nouvelles qui nous parlent de cette réalité que nous ne voulons pas toujours voir en face. 
    Joël Glaziou pour la revue Harfang 

    Livre à commander sur www.zonaires.com - Version papier (9€), version numérique à télécharger (4,49€)  


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  • En attendant son déconfinement, découvrez un extrait du roman "CONSTELLATION DU CORBEAU" de JULIE LEGRAND (à lire et/ou à écouter). En précommande, sur le site des éditions Zonaires avec tarif préférentiel pour une livraison fin avril / début mai.

    WWW.ZONAIRES.COM

     


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  • A M I. E. S   D U   L I V R EDans les journaux, à la radio, la télévision, les réseaux sociaux, on évoque l’opportunité que représente cette période de confinement pour découvrir des auteurs et des livres qui nous portent ailleurs, nous ouvrent à l’inconnu, nous mettent en mouvement, titillent notre mémoire, notre imaginaire, nous encouragent à penser autrement…

    Ce battage pour la lecture est fichtrement bienvenu, salutaire même, à une époque où le livre n’existe bien souvent que comme objet de bref divertissement dans un monde où presque rien n’est durable.
    Étrangement, ces appels massifs à la lecture ne rencontrent pas ou très peu d’échos. Bon nombre de libraires et d’éditeurs font le constat d’une chute vertigineuse des commandes et des ventes de livres. Les dédicaces en librairie, les rencontres dans les salons du livre, les festivals littéraires sont annulés. Les stocks restent dans les cartons et l’avenir des éditeurs indépendants incertain. Car comment envisager de pouvoir œuvrer à la conception de nouveaux livres et à promouvoir de nouveaux auteurs si les lecteurs ne suivent pas un minimum ? C’est ainsi que depuis le mois de mars à Zonaires éditions, nos parutions de fin 2019 et début 2020 restent beaucoup trop à quai.
    Comme vous le savez, nous sommes soucieux des conditions de travail particulièrement éprouvantes et dangereuses que rencontre actuellement le personnel de la Poste, aussi il nous a semblé acceptable de différer de quelques semaines la parution de nouveaux livres. C’est notamment le cas pour Le roman de Julie Legrand « Constellation du corbeau » et pour le recueil de nouvelles de Guan Jian « Si maman était là » dont la parution est prévue pour la seconde quinzaine d’avril.
    Rassurez-vous, à Zonaires éditions nous n’allons pas ouvrir de cagnotte pour vous appeler à la rescousse, ni tout brader pour faire rentrer un peu de liquidités.
    Mais peut-être pouvons-nous vous demander de manifester votre soutien en laissant un commentaire comme
    « J’apprécie l’édition indépendante » et j’en profite pour commander un livre.
    Pour vous remercier, nous vous offrons un avoir de 2 € par tranche de 10 € d’achats.
    Les commandes seront expédiées fin avril début mai 2020.
    Un grand merci pour votre soutien.
    Et n’hésitez pas à partager ! 

    www.zonaires.com


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  • En attendant son déconfinement,
    écoutez un extrait audio de "Constellation du corbeau":
    Le roman est disponible en précommande, sur le site des éditions Zonaires avec tarifs préférentiels pour une livraison fin avril.

    Réduction de 2,50 € : soit 9,50 € au lieu de 12 € jusqu'au 15 avril, puis, du 15 au 30 avril, réduction de 1,50 €: soit 10,50 € au lieu de 12 €)
     
    Belle écoute !

    À l'écoute !


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  • CONSTELLATION DU CORBEAU, roman de Julie LEGRAND
    Note de l'éditeur :

    Constellation du corbeau, note de l'éditeur

     

    Dans ce nouveau roman à la première personne, Julie Legrand invite le lecteur à découvrir un récit tout à fait singulier, à la fois extraordinaire, mystérieux et familier.
    Contrairement aux représentations externes qui sont entamées par le regard de l’autre dans « La Moustache » d’Emmanuel Carrère, ou soumises à une brusque métamorphose dans le roman de Franz Kafka, ici c’est le monde intérieur qui insidieusement part à la dérive.
    L’histoire est placée sous le signe du corbeau, oiseau de mauvais augure dans l’imaginaire occidental ou animal-esprit capable de manipuler les apparences physiques si l’on se réfère au chamanisme. Dans cette optique, il serait également un médiateur entre le monde des vivants et celui des morts.
    L’auteure nous présente un personnage qui dès les premières lignes du roman apparaît sous emprise, agité par des images de disparition, de deuil et de décomposition.
    Il cherche à comprendre pourquoi personne autour de lui ne l’interpelle sur la dégradation manifeste de sa dentition, sur sa lente et inéluctable dévastation. Il a beau se démener pour venir à bout de la crasse putride qui se déverse dans la pénombre de sa bouche, rien n’y fait. Quelque chose ou quelqu’un a fait intrusion en son for intérieur, mais ni son épouse, ni ses amis, ni ses collègues de travail ne semblent s’en soucier. Notre homme rumine toutes sortes d’hypothèses sur ce qu’il conviendrait de faire ou pas pour s’extraire de ce sentiment de vide qui s’insinue chaque jour davantage en lui. Ses relations intimes ou sociales si bien ficelées ne tiennent que sur le mince fil de l’apparence. Et à en juger par les réactions équivoques de son entourage après la perte de son emploi, les apparences se seraient manifestement retournées contre lui. Même les aménagements, tant domestiques que sexuels, élaborés soigneusement par le couple pour surmonter les épreuves du temps volent en éclats :
    « La nuit où je m’étais retrouvé sans emploi, le corps assoupi de Laurence avait gémi distinctement sous les draps :
    — Viole-moi, tu veux ?
    — Plaît-il ? lui répondis-je avec politesse, la politesse, chez moi, étant une manifestation expressive des accès de terreur me frappant parfois de façon inopinée.
    — J’ai envie que tu me violes, insista Laurence d’une voix ensommeillée en glissant un pied inquisiteur vers mon entrejambe. »
    Se sentant à la merci du bon vouloir de l’autre et ne parvenant pas à se faire entendre, tout devient suspect ; la parole est peu à peu mise de côté au profit de l’interprétation et du sentiment de persécution avec la solitude en point de mire.
    Que le lecteur soit rassuré : il ne s’agit point d’un roman « psychologique » mais une œuvre d’imagination raisonnée où l’observation clinique est particulièrement pertinente. Si vous connaissez Julie Legrand, vous savez déjà qu’elle excelle dans l’art de s’approcher au plus près des circonvolutions de l’âme humaine, qu’elle a cette formidable capacité à écouter ce qui se joue dans la plainte et à entendre ce qui s’organise dans la voie du ressentiment, bref, à donner à ses personnages l’occasion de se confronter à ce lieu vide de l’autre et de se mesurer à cet espace où ça ne répond pas. Une fois encore, elle par vient à disséquer avec une saisissante précision, mêlé d’un humour toujours mordant, la mécanique de l’effondrement psychique. P.L.

    Prévue fin mars, la sortie officielle du roman a été reportée à la fin avril 2020.
    Vous pouvez dors et déjà le pré commander sur le site des éditions Zonaires. En contrepartie, jusqu’au 15 avril 2020, une réduction de 2,50 € sur le prix de vente public vous sera offerte (soit 9,50 € au lieu de 12 €) Puis, du 15 au 30 avril, réduction de 1,50 € (soit 10,50 € au lieu de 12 €) pour une livraison fin avril.
    Merci de soutenir l’édition indépendante en ces temps difficiles !

    www.zonaires.com


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  • En attendant de pouvoir lire le roman en entier, découvrez un extrait de "Constellation du corbeau" lu par l'auteure Julie LEGRAND. 
     

    Extrait de Constellation du corbeau

    INFO + La Poste demande aux particuliers et aux entreprises de concentrer commandes et envois sur ce qui est strictement nécessaire. La culture en général et le livre en particulier sont pour nous essentiels, mais il nous semble acceptable de différer de quelques semaines la parution de nouveaux livres. C’est pourquoi les éditions Zonaires ne feront paraître officiellement ses nouveautés que dans quelques semaines à l’issue du confinement. La sortie du nouveau roman de Julie Legrand « Constellation du corbeau » initialement prévue fin mars et actuellement sous presse, est donc reportée à fin avril. En ces temps difficiles, nous vous serions reconnaissants de soutenir activement Zonaires éditions en précommandant ce nouveau roman de Julie Legrand pour une livraison fin avril ; en contrepartie nous vous offrons jusqu’au 15 avril 2020 une réduction de 2,50 € sur le prix de vente public (soit 9,50 € au lieu de 12 €) et du 15 au 30 avril 2020 une réduction de 1,50 € sur le prix de vente public (soit 10,50 € au lieu de 12 €)
    Commande sur www.zonaires.com

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  • INFO + 

    La Poste demande aux particuliers et aux entreprises de concentrer commandes et envois sur ce qui est strictement nécessaire. La culture en général et le livre en particulier sont pour nous essentiels, mais il nous semble acceptable de différer de quelques semaines la parution de nouveaux livres. C’est pourquoi les éditions Zonaires ne feront paraître officiellement ses nouveautés que dans quelques semaines à l’issue du confinement.

    La sortie du nouveau roman de Julie Legrand « Constellation du corbeau » initialement prévue fin mars et actuellement sous presse, est donc reportée à fin avril.

    En ces temps difficiles, nous vous serions reconnaissants de soutenir activement Zonaires éditions en précommandant ce nouveau roman de Julie Legrand pour une livraison fin avril ; en contrepartie nous vous offrons jusqu’au 15 avril 2020 une réduction de 2,50 € sur le prix de vente public (soit 9,50 € au lieu de 12 €) et du 15 au 30 avril 2020 une réduction de 1,50 € sur le prix de vente public (soit 10,50 € au lieu de 12 €)

    Commande sur www.zonaires.com

     

     

    Contellation du corbeauLe narrateur, conducteur de travaux au chômage, vit reclus dans son appartement.
    Ses journées sont rythmées par sa recherche d’emploi, ses rendez-vous avec son conseiller Pôle Emploi et ses efforts quotidiens pour s’intégrer dans un environnement manifestement hostile.
    L’intrusion d’un oiseau sur le toit de l’immeuble, tout en attisant sa curiosité, éveille chez l’homme d’étranges réminiscences qui le poussent à s’interroger sur son lien au monde et sur l’intimité entretenue avec son épouse, Laurence, jeune femme impliquée à faire en sorte que leur couple « fonctionne » par tous les moyens, quitte à en devenir par trop insistante et intrusive.
    Coupé peu à peu du lien social, mais tenu de rendre des comptes en définissant un « projet professionnel » de plus en plus hasardeux, les interrogations du narrateur se muent en considérations plus inquiétantes, à mesure que les contours de son univers s’estompent en l’isolant de toute réalité tangible…
    Au travers de ses « péripéties immobiles », Constellation du corbeau questionne – dans un humour noir, grinçant – la fonction que chacun doit occuper dans une société déshumanisée, axée sur la performance et déconnectée des valeurs essentielles.

     

    Contellation du corbeauOriginaire de Paris, Julie Legrand vit sur l’île de la Réunion depuis 2008.
    Son écriture explore différents territoires littéraires : de la nouvelle au récit poétique, en passant par le théâtre ou l’album jeunesse.
    Ses textes ont paru dans une quinzaine de revues littéraires, recueils collectifs d’éditeurs et de libraires, publications papier ou dématérialisées.
    Constellation du corbeau est sa troisième publication chez Zonaires éditions, après Les Ravissants, recueil de nouvelles paru en 2017 et La Fleur que tu m’avais jetée, novella publiée en 2019.

    Constellation du corbeau de Julie Legrand, roman, 96 pages, 12 € + 3,80 € de frais de port ISBN 979-10-94810-27-9 Parution différée au 30 avril 2020


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  • Une lecture idéale dans la situation actuelle...
    Tout de suite et sans virus sur votre liseuse, votre tablette ou votre téléphone…

    AU CHEVET DES VIVANTS

    de Françoise GUÉRIN

    en version numérique à télécharger sur la plupart des plateformes

    et sur www.zonaires.com

    4,49 € et sans frais de port !

    Sans virus !


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  • Extrait de la première nouvelle du nouveau recueil de Joël Hamm "Pastel noir".

    Le poids du monde

                                                                      À la mémoire de Stéphane Laurent.

    Le poids du monde

       La veille, il avait soufflé ses douze bougies, l’œil attiré par la télé qui vibrionnait dans un coin de la pièce. Le journal de vingt heures alignait ses cadavres quotidiens. Sa mère avait éteint la télé mais les images sanglantes restaient coincées au fond de son cerveau, à tourner comme du linge sale dans une machine qui ne lave rien. Il n’avait pas réussi à s’endormir. Terrorisé, il avait appelé sa mère. Quand il la dérange au milieu de la nuit, elle ronchonne un peu, mais elle vient toujours. Assise au bord de son lit, elle lui tient la main, le temps qu’il se calme.

      Il parle souvent de ses cauchemars avec Jos, le vieux qui fait la manche près du collège. Ses copains se fichent de lui. Ils lui demandent si par hasard ce n’est pas son père, ce zonard. Jos est un optimiste forcené ; il remercie la providence, surtout quand le garçon lui apporte des crêpes encore chaudes enveloppées de papier alu. Je suis un oiseau sur la branche, affirme-t-il, pourtant j’aurais de quoi me plaindre avec ma patte folle et mon asthme. Il encourage le garçon à faire du sport et à éteindre la télé. Ne la regarde pas, elle donne une sale idée du monde. Le monde, le vrai, tu le découvriras en explorant le cœur des hommes, c’est là qu’il se trouve. Et puis oublie tes soucis. Chaque ligne de notre vie n’est qu’une minuscule partie du grand récit que Dieu invente pour s’endormir. Alors, à quoi bon s’en faire…

       Le vieux bonhomme est sans doute un peu cinglé mais il est réconfortant. Pendant les grandes vacances, il émigre dans le sud et le garçon l’oublie.

       Ce matin-là, il mange les restes de son gâteau d’anniversaire au petit déjeuner et se recouche avec une BD. Quand sa mère revient de ses ménages et qu’elle le trouve au lit en plein après midi, alors qu’il fait si beau dehors, elle pique une colère.

       – Bouge un peu, dit-elle en lui tendant son ballon de foot, va jouer avec tes copains ! 

       – Quels copains ?

       Elle lui serine son discours préféré : Aide-toi, le ciel t'aidera et les vaches seront bien gardées, si les petits cochons ne te mangent pas ! Quelque chose comme ça.

        La plupart des mômes de la cité zonent dans les caves. Lui, ça le dégoûte l’odeur des poubelles. Sans compter que les grands font leur loi dans ce royaume pourri. Leur chef c’est William Leroy. Le plus taré de tous. À quatorze ans, il mesure un mètre quatre-vingt et se trimballe dans la cité très fier de son quintal de graisse blanchâtre, de cheveux rouges et d'idées tordues. Sa bande le surnomme the big mais le garçon l'appelle la bigle. Un terme bien plus approprié à la vue basse et au strabisme de Leroy.

    Vous pouvez écouter la suite de l'extrait sur la vidéo ci-dessous

     Le livre est à commander sur www.zonaires.com (224 pages, 18 € + port)


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