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Blogcity, revue d'étoiles (4)
Une chronique à la petite semaine de quelques judicieuses fabriques de littérature.
à cliquer :
Chez Stéphane Laurent
Eloge et controverse à propos de L’étage de Dieu de Georges Flipo (9 janvier)
Sur Mot Compte Double
Des jeux avec les pros du verbe (10 janvier) et des billevesées qui font causer (12 janvier).
Un monde en voie de délarbrement par Emmanuelle Urien (14 janvier)
Chez Geneviève Steinling
Une séduisante histoire de haine
Sur Nouvelle au Pluriel
La vie comme lot de consolation par Magali Duru
Chez Frédéric Boudet
Quelques propos sur l’invisible, par l’auteur du recueil du même nom (chroniqué ici même le 25 août 2006)
Sur Festival de Romans
Création sur Internet : Plus que trois jours pour faire vos jeux et envoyer ou non ce site aux oubliettes de Romans
La dépêche expéditive de chez Reuters
Contempler des œuvres d'art et les évoquer en réunion seraient des remèdes efficaces contre l'hypertension et la constipation. Une scientifique d’origine suédoise a publié récemment le résultat de ses recherches sur l’impact de l’art dans le comportement humain.
Pendant quatre mois, la chercheuse a réuni une fois par semaine vingt femmes âgées d'environ 80 ans pour des conversations autour d'œuvres d'art. "Leurs attitudes sont devenues de plus en plus positives, plus créatives, leur pression artérielle est allée dans la bonne direction et elles se sont mises à utiliser moins de laxatifs".
Un groupe témoin de vingt autres femmes qui se sont réunies, dans les mêmes conditions mais pour seulement évoquer leurs loisirs, n'a pas bénéficié des mêmes effets, est-il précisé.
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Commentaires
Le dépêche expéditive de Reuters m'amuse.Faut-il que j'attende d'avoir 80 balais pour ressentir des effets bénéfiques physiques devant un tableau de Wols ? Zat is ze question. Personnellement, je ne suis pas du tout d'accord avec Sartre. Je n'aime pas du tout Wols, je n'aime pas du tout ses enchevêtrements psychographiques, il ne provoque rien en moi, si je puis m'exprimer ainsi. Et vous ?
Incroyable. J'ai à nouveau LAA. Lalalalalala. Tiens, ma pression artérielle va dans la bonne direction, je le sens. Youpiyoupayoupala.